La coopération décentralisée constitue un soutien tangible aux pays les plus défavorisés, pris entre leur besoin de développement et la charge de leur dette.
Rationnelle et encadrée, la coopération décentralisée touche directement les populations, avec pour objectif principal d’améliorer le revenu des populations les plus pauvres et former les futurs citoyens du monde. Cette forme de solidarité œuvre ainsi pour un développement durable, respectueux de l'environnement, des langues et des cultures.
Dès 1998, afin de pallier ces inégalités croissantes, le Conseil général de l’Essonne s’est fixé deux ambitions majeures en matière de solidarité internationale : accompagner les actions de développement à long terme, et assurer l’aide d’urgence.
Ni charité ni assistanat, la solidarité internationale doit avant tout permettre aux populations auxquelles elle s’adresse d’accéder au développement, dans le respect de leurs modes de vie, de leur environnement, et de leur autonomie.
Dans son programme 2008-2010 en faveur de la coopération décentralisée, le Conseil général souhaite renforcer la mobilisation des acteurs essonniens et soutenir prioritairement les porteurs de projets.
À cet effet, le Département vient de s’engager à hauteur de 146 900 € afin de soutenir 14 projets de développement durable à l’étranger et d’éducation au développement, portés par des acteurs essonniens de la coopération internationale.
Par ailleurs, dans le cadre de la coopération engagée avec le Conseil du Cercle de Douentza (Mali) depuis 2003, le Conseil général a également voté le versement d’une subvention de 71500 € pour la mise en œuvre du programme d’action 2010-2012.
Le Conseil général de l’Essonne poursuit ainsi sa politique de coopération décentralisée en "aidant à faire ceux qui font".
:)) Da, funny rau! Noi la fata locului nu stiam daca sa ne eraevnm sau sa ne plangem :))Dar eram prea obositi pentru a ne plange... asa ca ne-am amuzat :P
Rédigé par : Florecita | 16 août 2012 à 04:21