C’est avec une peine et une tristesse immenses que j’ai appris ce matin la mort de mon collègue et camarade Jean Germain qui, selon toute vraisemblance, s’est suicidé, après avoir laissé une lettre d’adieu.
A mes côtés au groupe socialiste du Sénat et au sein de la Commission des Finances, je peux témoigner de sa droiture et de l’engagement sans faille qui était le sien dans les dossiers qu’il portait.
Homme de conviction et de parole, il s’était tout entier investi au service de la ville de Tours et de ses concitoyens.
A sa famille, à ses proches et ses amis, j’adresse mes pensées et mes sincères condoléances.
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