C’est avec une grande émotion et une profonde tristesse que j’ai appris, ce jeudi, la disparition de Claude Estier.
Claude, c’était avant tout l’engagement : dès son adolescence au sein de la Résistance, dans sa vie professionnelle en tant que journaliste, dans chacun de ses combats militants au Parti socialiste – où il fonda le journal L’Unité après le Congrès d’Epinay – et auprès de François Mitterrand, dans ses mandats, notamment au Sénat.
Son humanité, sa loyauté et son humour nous manqueront. J’adresse à sa famille et ses proches mes sincères condoléances.