Aujourd'hui 4 septembre, c'est la rentrée pour la plupart des écoliers français. Souhaitons leur à tous beaucoup de succès et une année d'étude enrichissante ! Pour un conseiller général, la journée de rentrée est moins chargée que celle d'un maire. J'ai donc passé ma journée à faire le tour des collèges de mon canton : les Pyramides, le Village et Montesquieu à Evry, Paul Fort à Courcouronnes.
A Paul Fort, j'ai souhaité la bienvenue à Monsieur Claude Briat qui remplace Madame Leconte (qui doit profiter d'une retraite bien méritée après plusieurs décennies passées au service de l'éducation en Essonne). Cela m'a permis de faire le point précis avec les équipes et les chefs d'établissement sur l'état des collèges. Le Conseil général de l'Essonne a fait des collèges une politique prioritaire puisque de nombreuses constructions et rénovations ont été menées à bien ces dernières années. Les 99 collèges essonniens dans l'ensemble sont dans un bon état, ils disposent d'un matériel informatique de bon niveau.
Les collèges de mon canton ne font pas exception. Je reste très attentif à leur état et leurs moyens.
Et la rentrée s'accompagne des... IMPOTS!!!
Comme chacun j'ai reçu ma taxe d'habitation, qui à ma grande surprise (cette année) n'augmente pas de façon démesurée... ah...! vive les années éléectorales!
Rédigé par : Jeune et Populaire | 05 septembre 2007 à 10:49
Vous devez parler du report de projet de TVA sociale pour après les municipales. Jeune et populaire, compte tenu des errements économiques et fiscaux de votre camp, un peu de pudeur ne serait pas un luxe.
Rédigé par : Tony | 06 septembre 2007 à 10:30
Tony, toujours les mêmes mauvaises habitudes !
Vous bottez en touche sur une question locale par une réponse nationale. Si vous vous êtes donné pour mission de répondre à la place de l'auteur de ce blog, soit. Mais alors, ne répondez pas à côté SVP.
Rédigé par : plaintcontrix | 10 septembre 2007 à 21:00
Ce sympathique Tony a bien raison ! La gauche n'a pas de leçon à recevoir.
Comment séparer le local et le national ? Tout est lié !
On ne peut pas être défenseur localement d'une chose et nationalement d'une autre. C'est de la schizophrénie plaintcontrix !
Rédigé par : Lefty | 11 septembre 2007 à 12:38
plaintcontrix, jeune et populaire... Cessez donc votre démagogie. C'est navrant de vous voir, vous et tant de personnes, pester sans cesse contre leurs impôts.. Certains le font par ignorance, ne soyez pas plus bêtes encore!! Ne devriez vous pas être fiers d'en payer, et vous dire que grâce à cela vos enfants sont soignés (pour l'instant et presque, merci NS) gratuitement, ils vont à l'école gratuitement, ils prennent les transports scolaires, ils ont accès à la culture et au sport, ils partent en vacances avec des aides si nécessaire...
Pour un prix moyen 14 fois inférieur aux petits japonais de leur age, et sans doute environ la même chose pour nos voisins de l'autre coté de l'océean pacifique...
Alors s'il vous plait, un peu d'esprit, moins de démagagogie.
Presque chaque français est fier des services publics de son pays... Il devrait l'être aussi de payer ses impôts!! Moi j'en suis.
Rédigé par : ghibli | 11 septembre 2007 à 15:40
D’avance, pardonnez-moi, ça va être un peu long.
Je vous livre, en vrac, quelques réflexions que m’inspirent vos diverses réponses sur « rentrée » et sur « croissance en panne ». Pourtant, je sais d’avance que ça ne sert à rien. Vous avez décidé que le monde était rangé en deux catégories bien distinctes : les méchants, riches et réactionnaires de droite contre les gentils, intelligents et généreux de gauche. Dans votre monde, il n’existe ni droite sociale, ni bobos aisés de gauche, ça ne rentre pas dans les cases. Vos raisonnements binaires vous ont coupé de la réalité vécue au quotidien par des millions de Français qui ne sont ni rentiers ni rmistes. Entre ces deux extrêmes, qui vous servent souvent de références, il y a une foultitude de familles moyennes, comme la mienne, qui ne semblent pas mériter votre attention.
Tout d’abord, je suis assez content d’avoir la chance de payer des impôts. Je ne peste pas contre le fait d’en payer (dans les limites du raisonnable, faut pas non plus exagérer !), mais contre l’utilisation qui en est parfois faite, notamment au niveau local. Alors quand je vois que le fruit de mon travail sert, par exemple, à financer une fête qui s’annonce fastueuse à Chamarande et le relookage d’un logo, je m’interroge légitimement sur l’utilité de ces dépenses. Vous qui ne cessez de vous plaindre que les ressources du Département diminuent, apprenez à gérer « en bon père de famille » : opérez des choix, réduisez les postes de dépenses qui ne sont pas indispensables. Bref, faites comme nous quand on gère notre budget familial !
Tout ça pour dire que je participe de bon cœur (eh oui, souvenez-vous, vous n’avez pas le monopole du cœur) à l’effort collectif. Etre fier des services publics de son pays, et je le suis comme vous, ne doit quand même pas vous ôter tout sens critique !
Mais, et ça me paraît normal, je bosse avant tout pour moi et ma famille.
Avant d’être étranglés par les impôts de toutes sortes, les taxes directes ou indirectes, ceux qui travaillent doivent pouvoir vivre, se loger, s’habiller et se nourrir avec le fruit de leur travail. Je me souviens que certains d’entre vous s’insurgeaient contre les baisses d’impôts, les réductions sur les prêts immobiliers ou encore la suppression des droits de succession (réfléchissez deux minutes : payer pour racheter ce que ses propres parents ont durement acquis par une vie de travail !). A mon modeste niveau, je bénéficie de certaines de ces mesures. Et pourtant, il faut arrêter avec la démagogie populiste: je suis loin d’être un méchant rentier. Comme vous, j’ai besoin de travailler pour vivre, je me lève tôt (ou plus exactement je me couche tard), je m’investis, je ne compte pas mes heures. Comme vous, j’ai des crédits, j’ai parfois du mal à boucler les fins de mois et je dois faire des choix financiers. Alors si je peux récupérer trois-francs-six-sous et mettre un peu plus de beurre dans les épinards, j’en suis ravi !
En plus, vu que cette année ce modeste cadeau fiscal ne va pas s’évanouir dans une énième hausse des impôts départementaux (merci les élections cantonales et municipales), je vais pouvoir consommer plus et faire marcher le commerce. Elle est pas belle la vie ?
Rédigé par : plaintcontrix | 11 septembre 2007 à 20:41
Pourquoi pensez-vous que la remarque de Michel Berson s'adresse à vous ?
La gauche dénonce les cadeaux fiscaux faits aux 10% de Français les plus riches, ceux qui justement n'ont pas de mal à boucler les fins de mois.
Rédigé par : Tony | 12 septembre 2007 à 15:07