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06 décembre 2007

Commentaires

Mr Berson, ce n'est pas sérieux.

Vous vous mettez en avant sur cette action et, simultanément, le Conseil Général que vous dirigez massacre une ville, Mennecy, avec des projets routiers délirants.

23 à 28000 véhicules par jour à travers Mennecy en 2015, alors que vous promettez qu'aucun projet routier ne créera de nuisances!
28000 voitures par jour devant un EHPAD Alzeihmer en construction!

Vraiment, vraiment, vous n'êtes pas sérieux!

Bravo à vous, c'est une belle victoire. Au nom de tous les riverains, merci.

Encore une fois, un peu de gloriole partisanne !

C'est drôle mais vous ne parlez pas des actions menées par les maires de Villeneuve-le-Roi ou d'Ablon...sans doutes parce qu'ils ne sont pas de Gauche...

Question : pourquoi ne citez vous pas les noms des Secrétaires d'Etat ? Il y a pourtant une essonnienne !!! Mais cela doit aussi vous déranger car c'est peut-être la véritable raison de l'avancement du dossier.

Secrétaire d'Etat à l'Ecologie :
Madame Nathalie KOSCIUSKO-MORIZET

Secrétaire d'Etat aux transports :
Monsieur Dominique Bussereau

J'ai trouvé ça...

Atterrir en altitude

Cela ressemble à un gag. Ou à un trait d’humour à la Alphonse Allais. Les nuisances sonores près des aéroports ? La secrétaire d’État à l’Écologie, Nathalie Kosciusko-Morizet, a un plan pour les éradiquer. Il suffit que les avions volent plus haut. La proposition semble de bon sens. Comme une lapalissade. Style : un quart d’heure avant sa mort, il était encore vivant. Mais non. C’est sérieux : le relèvement de 300 mètres de l’altitude des avions à l’approche des aéroports franciliens est bel et bien une mesure sur laquelle le gouvernement dit travailler. Sans doute oublie-t-il un détail technique. Comme le pudding qui trouve sa preuve dans le fait qu’il soit mangé, le transport aérien n’a de pertinence que lorsqu’un avion atterrit. Or il ne devrait échapper à personne que cette dernière manoeuvre nécessite qu’il se rapproche du sol tangentiellement jusqu’à ce qu’il atteigne le plancher des vaches. Il ressort de ce rappel sur les contingences physiques de l’exercice qu’un aéronef ne saurait se poser à 300 mètres d’altitude. Et que, même s’il plonge au dernier moment, les riverains de l’aéroport n’échapperont pas au bruit. De la même façon, on pourrait disserter sur le bruit au décollage. L’absurdité devient manifeste : peut-il prendre l’air à 300 mètres de hauteur ?

Cher Valmy,


Je pense que vous ne devez pas bien connaître l'aviation civile commerciale ou mal lire les sujets de réflexions gouvernementaux...voire les deux peut-être.

Sachez qu'il existe des plafonds d'approche qui peuvent être abaissés ou relevés suivant les circonstances. C'est précisément le sujets de l'étude gouvernementale...

Mais si vous avez une autre solution, allez-y, je crois que nous serons nombreux à vous lire...

Là encore, la capacité du Conseil général à valoriser nos potentialités, à renforcer nos qualités tout en réduisant nos défauts est manifeste.

L'Essonne a fait bouger le gouvernement. Bien joué !

Sarko à l'écoute des essonniens !

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